Vers un nouvel outil de diagnostic précoce de la maladie de Parkinson

Résultats scientifiques Biologie Chimie

Détecter les agrégats de protéines, à l’origine de nombreuses pathologies neurodégénératives, permet de combattre ces maladies. Des scientifiques de l'Institut Européen des membranes (CNRS / Université de Montpellier) et de l’Institut des neurosciences de Montpellier (Inserm / Université de Montpellier) proposent une nouvelle méthode, basée sur l’utilisation de nanopores, qui permet une détection semi-quantitative rapide d’agrégats d’α-synucléine, biomarqueurs de la maladie de Parkinson. Ces résultats sont à retrouver dans la revue ACS Central Science.

Les chimistes et biologistes ont uni leurs savoirs pour développer une technique de détection plus rapide des biomarqueurs de la maladie de Parkinson.

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Référence

Nathan Meyer, Jean-Marc Janot, Joan Torrent & Sébastien Balme
Real-Time Fast Amyloid Seeding and Translocation of α‑Synuclein with a Nanopipette
ACS Central Science 2022

https://doi.org/10.1021/acscentsci.1c01404